Jean Jaurès, Conférence à Buenos Aires 1911
« Il faut, quand il y a des producteurs de beauté, des artistes capables d’harmoniser les éléments des cultures anciennes et de créer dans chaque pays une pensée originale et indépendante, qu’ils soient compris ; il faut que, dans la difficulté de leur œuvre, ils puissent se réconforter en se disant que, lorsque elle aura été produite, elle sera comprise, non pas dans ses secrets et ses subtilités intimes, mais dans la sincère profondeur de l’émotion créatrice, par une multitude d’hommes élevés à la dignité humaine … »
Exposition posthume galerie George Petit 1925 à Paris, le critique d’art Thiebault Sisson écrit :
« Boggio en réalité fut un maitre. On ne l’a pas suffisamment apprécié de son vivant. Mort, on lui doit justice. Pourquoi ne la lui a-t-on pas rendu plus tôt, cette justice, bien que tout ce qui compte en critique ne lui ait jamais marchandé ni les sympathies ni l’éloge ? La raison en est facile à déduire : Boggio fut essentiellement un vagabond. »